L'Aède sous la loupe

tiré de la toile


Style de jeu

Pourquoi choisir un Aède quand on a choisi la voie du Prêtre ? Beaucoup de gens vont se poser cette question en arrivant au niveau 10, car si on regarde bien le Clerc, il est meilleur soigneur et possède une panoplie tout à fait intéressante de compétences qui lui permettent d'alterner entre soins, combats au corps à corps ou dégâts élémentaires à distance. Alors, que rêver de mieux ? Pourquoi choisir celui qui chante (et non, Michel Berger n'était pas producteur d'Aion) ?

Passons d'abord en revue les avantages évidents, mais communs avec ceux du Clerc : des sorts de soins (certes moins nombreux et efficaces, mais suffisants tout de même pour un petit groupe ou un jeu solo), une armure de mailles, et le choix d'armes entre un bâton à deux mains aux bonus magiques assez flatteurs et une combinaison marteau/bouclier tout aussi intéressante pour ceux aiment le contact. Mais qu'en est-il du reste ? L'Aède possède-t-il suffisamment d'atouts dans sa manche pour intégrer un groupe sans avoir à lui faire les yeux doux ?

La réponse réside dans le reste de ses compétences. Les mantras tout d'abord (chants qui permettent d'appliquer des effets aux personnes situées dans une zone autour de l'Aède), qui feront de l'Aède un élément indispensable des groupes dont le DPS est fortement magique, pour faciliter la gestion et la récupération de la mana (entre autre). Grâce à eux, l'Aède pourra également augmenter les défenses physiques, doper les attaques, bref... C'est le buffeur du groupe !
Mais l'intérêt de l'Aède ne s'arrête pas là. Relégué au rang de soigneur secondaire pour épauler le Clerc qui sue toute son eau à tenter désespérément de maintenir en vie les Assassins n'ayant pas compris qu'une armure de cuir, c'était tout de même très fin, l'Aède aura plus de temps pour tester ses aptitudes au combat. Et là... difficile d'en croire ses yeux ! Les dégâts infligés sont conséquents, et surtout assortis de nombreuses conditions négatives pour ceux qui tâteront du bâton.

Finalement, l'Aède a de quoi se défendre !